Les journées de Tilda sont très chargées : études, travail à la caisse d'un supermarché, natation, s'occuper de sa petite sœur Ida – et souvent aussi de sa mère alcoolique. Dans la petite ville qu'elle déteste profondément, tous ses amis sont partis depuis longtemps. Mais alors qu'une promotion à Berlin lui est proposée, Viktor réapparaît soudainement et l'espoir renaît – jusqu'à ce que tout bascule définitivement chez elle.

Lors d'un voyage en train à travers la Suisse, l'Américain James Larkin White est arrêté. On le soupçonne d'être le sculpteur disparu Anatol Stiller, impliqué dans une affaire politique douteuse. White nie ces accusations, et même la femme de Stiller ne parvient pas à l'identifier formellement. Les souvenirs et les liens surprenants du procureur refont surface.

Après un simple accident, les événements s’enchaînent.

En 1982, Bruce Springsteen – incarné dans le film par Jeremy Allen White – travaille sur son album le plus radical, «Nebraska». Accablé par la célébrité, il renonce au studio d'enregistrement et se retire dans sa chambre. C'est là qu'il compose des chansons sombres sur la culpabilité, la désolation et la violence. «Springsteen: Deliver Me From Nowhere» montre l'artiste déchiré et son chef-d'œuvre involontaire.

Dans son troisième long métrage, l'actrice et réalisatrice palestino-américaine Cherien Dabis retrace l'histoire de trois générations d'une famille palestinienne sur près de 75 ans. Une épopée sensible qui montre à quel point les événements actuels ont des racines profondes.

Lors d'une excursion dans les environs de Berlin, Laura survit à un grave accident de voiture. Physiquement indemne, mais bouleversée intérieurement, elle trouve refuge chez Betty, qui a été témoin de l'accident. Une profonde affection naît immédiatement entre elles. Laura apprécie les soins de Betty, les visites à sa famille et le travail dans le jardin, mais une douleur sombre et inexprimée lie les quatre personnes.